Nous sommes instinctivement capables d’estimer les quantités d’énergie et les nutriments dont nous avons besoin et d’opter pour les bons choix alimentaires.
A l’état naturel, nous ne prenons pas de poids.
Voici comment se finit le chapitre 3 de Fasting, intitulé « Vous savez ce qui est bon pour vous. »
d’ailleurs, si vous êtes arrivez directement sur cette page, sans passer par les 2 premiers articles au sujet du résumé de ce livre, je vous indique à retrouver le précédents chapitres, en cliquant ici.
Ou alors, vous pouvez retrouver un résumé plus général sur cette page Fasting – Résumé du livre.
Dans ce résumé, je ne vais pas vous présenter le contenu dans le même ordre que ce que l’auteur a pu faire.
Je vais retravailler tout cela, afin qu’il y ait une certaine cohérence dans ce que je vais vous dire par la suite.
Quel est le constat actuel ?
On prend du poids.
Il y a, en effet, actuellement une crise du surpoids et de l’obésité, sans précédent.
Et cela ne semble pas aller en s’améliorant…
Cette crise n’est pourtant pas logique. Avec toute cette nourriture abondante, sommes-nous vraiment fait pour grossir ?
C’est la question que l’on peut se poser.
Pourtant, et c’est là, ou ce chapitre est intéressant, c’est que JB Rives, nous parle d’une étude effectuée sur des orphelins durant la Seconde Guerre mondiale.
Surpoids ou pas ?
Cette étude portait sur le fait de savoir si des enfants tout justes sevrés, autrement dit pas encore pollués par « l’alimentation diversifiée » que les nutritionnistes recommandaient alors, développaient du surpoids lorsqu’ils choisissaient ce qu’ils voulaient manger.
Etonnamment, ou pas d’ailleurs, c’est enfants n’étaient pas en surpoids.
Encore mieux, ils étaient à leurs poids idéals, et cela sans carence particulière.
C’est particulièrement intéressant, car ceci est donc une caractéristique que nous partageons avec les animaux.
Bah oui…. connaissez-vous des animaux en surpoids ? ou obèses ?
je ne le pense pas, car mise à part des circonstances exceptionnelles, les animaux sont généralement à leurs poids optimales.
C’est que le problème vient d’ailleurs.
D’ailleurs, et c’est l’objet du prochain chapitre et résumé, mais on s’aperçoit que, à partir de 1950, le nombre de personnes en surpoids grimpent…